Customize Consent Preferences

We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.

The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ... 

Always Active

Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

No cookies to display.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

No cookies to display.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

No cookies to display.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

No cookies to display.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

No cookies to display.

Subscribe To Our Newsletter
COMMENT RÉPONDRE AUX FAIBLES TAUX DE RÉTENTION DANS LES SOINS DES PVVIH DANS DE NOMBREUX PAYS D’AFRIQUE DE L’OUEST ET DU CENTRE ?
OFM Edition 95

COMMENT RÉPONDRE AUX FAIBLES TAUX DE RÉTENTION DANS LES SOINS DES PVVIH DANS DE NOMBREUX PAYS D’AFRIQUE DE L’OUEST ET DU CENTRE ?

Author:

Dr Philippe Msellati

Article Type:
Actualite

Article Number: 5

Les stratégies actuelles de prise en charge et de rétention des PVVIH sont-elles efficaces ? Les chiffres de maintien dans les soins après 12, 36 ou 48 mois semblent indiquer le contraire, en dépit de

RÉSUMÉ En Afrique de l’ouest et du centre, 47% des PVVIH, soit près de 18 millions d’individus, ne contrôlent pas leur charge virale, dont 8 millions qui ignorent leur statut sérologique. Parmi les 24 millions de personnes qui ont eu accès aux antirétroviraux, il faut tout d’abord considérer comme un premier problème le fait que ces chiffres correspondent à un premier contact, au moins, avec le système de distribution des antirétroviraux mais ne dit rien (ou très peu) sur le nombre de personnes réellement observantes et sur le nombre de personnes encore suivies à 6, 12, 24 mois ou plus longtemps. Quant à la rétention dans les soins, qui peut être inférieure à 50% à 24 mois dans certaines files actives de grandes villes africaines, il est nécessaire d’étudier les causes d’abandon du traitement mais aussi le réel poids de l’abandon du traitement parmi les autres causes de départ des files actives (décès, transferts), afin d’y remédier. Cet article effectue une revue de la littérature qui étudie les possibles raisons de l’abandon des soins et l’efficacité des solutions apportées jusqu’à présent.

Tags :

Leave a reply

  • Anonymous comments (0)
  • Facebook Comments

Your email address will not be published.

Aidspan

Categories*

Loading
Aidspan

Categories*

Loading